Atlético : Simeone « Je travaille pour gagner, pas pour plaire aux autres »

  • Par Aurélie

A la veille de la demi-finale retour de Ligue des Champions entre le Bayern Munich et l’Atlético Madrid, Diego Simeone s’est présenté en conférence de presse ce mardi. Le coach argentin a fait savoir travaillait pour gagner et non pas pour plaire aux autres.
« Nous avons beaucoup travaillé depuis quatre ans pour en arriver là. Et, par rapport à il y a deux ans, nos efforts et notre façon de travailler n’ont pas changé. Mais les joueurs, eux, ont changé. J’ai des joueurs d’expérience, comme Fernando Torres, j’ai des jeunes, comme Saul et Carrasco. C’est bien, tout le monde se bat pour une place dans l’équipe. Et si nous regardons les résultats que nous avons atteints et bien nous ne pouvons qu’être satisfait.

Les critiques de Xavi sur le style de jeu de l’Atlético ? Je respecte toutes les opinions. Dans le football, nous avons tous raison. La plus grande fierté, c’est de tirer le meilleur de mes joueurs et de mes effectifs. Je respecte tout le monde, toutes les opinions, tous les footballs. Le football est un sport fantastique, il y a différentes manières d’y jouer. Chaque coach travaille selon ses idées et selon ses joueurs.

À l’aller, nous avons joué d’une façon qui nous va bien. Demain, nous verrons le niveau du Bayern et le nôtre. Je ne pense pas qu’il y ait une pression supplémentaire sur le Bayern. Cela dépendra de la force mentale de chaque équipe et de la capacité de profiter des faiblesses de l’autre.

Un message pour les supporters ? Je peux leur dire que demain nous allons être fidèles à notre style, nous allons rester nous-mêmes.

Un match nul ? Notre idée, comme toute équipe qui va jouer un match de football, c’est de gagner. Demain, nous jouerons pour gagner.
Je suis nerveux avant chaque match.

Godin a montré que sa présence était importante mais Savic, Giménez et Lucas sont aussi très bons.

Tout ce qui m’importe c’est de gagner. C’est pour ça que je me prépare, pas pour plaire aux autres. Je travaille pour mon club, c’est lui qui me paie. »

Sur Foot Espagnol